Chapitre II
De jeunes Meljacois dans les armées - conquête de l' Algérie, guerre de Crimée, campagne d' Italie -
1814 - 1870
Le contexte Historique…
Cette
période d' un peu plus de 50 ans connaît
en France de nombreux changements de régime
politique. Se succèdent
en effet, après la première abdication de Napoléon 1er le
6 avril 1814:
-
la Monarchie: 1ère Restauration d' avril 1814 à mars 1815:
La
chute de l' Empire entraîne la restauration des Bourbons avec "l'
octroi"
d' une Charte instaurant une forme de monarchie constitutionnelle, avec
Louis XVIII (frère de feu Louis XVI).
- les Cent Jours: le 1er
Empire restauré du 20 mars au 22 juin 1815:
Napoléon,
dès mars 1815,
débarque de l' île d'Elbe et fait à Paris une entrée
triomphale. Ce triomphe de courte durée, surnommé "les Cent
Jours", cède au
désastre de Waterloo (18 juin 1815) où l' armée Napoléonienne
est battue par la 7ème coalition
et à l' issue duquel, Napoléon se livre aux Anglais qui l' internent à Sainte-Hélène
où il mourra en 1821.
- la Monarchie: 2ème Restauration de juillet 1815 à août
1830, dans
laquelle régneront successivement;
Louis XVIII du 22 juin 1815 au 16 septembre
1824, date de sa mort,
Charles X, son frère qui lui succède et qui abdiquera le 2 août
1830 lors de la Révolution des "3 Glorieuses" (27, 28 & 29
juillet 1830).
- la Monarchie de Juillet du 9 août 1830 au 24 février 1848:
Sous l' influence de son entourage ultra-royaliste, Charles X a pratiqué
une politique particulièrement réactionnaire, légiférant
par ordonnances,
dissolvant la Chambre récemment élue mais favorable à l'
opposition,
restreignant
le droit
de
vote et
suspendant
la liberté de la presse.Il a ainsi provoqué la Révolution
de
1830 qui l'a obligé à abdiquer. C' est Louis-Philippe 1er qui est
alors
proclamé Roi
des Français.
Fils de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Égalité,
il s' appuiera
pour régner
sur la haute bourgeoisie, brisant par la force toute insurrection républicaine.
L' obstination du roi Louis-Philippe 1er à refuser toute réforme
débouchera
sur la Révolution du
24 février 1848.
Le roi abdique.
Les chefs républicains parmi lesquels Arago, Lamartine et Ledru-Rollin
font
acclamer la République et installent un gouvernement provisoire.
- la 2ème République: du 25 février 1848 au 7 novembre
1852:
Issue de la Révolution de 1848, la Seconde République n' aura
qu 'une
existence
brève: les ouvriers croient qu 'elle va transformer leur sort mais
quelques semaines "d' agitation socialiste" aboutissent aux émeutes
sanglantes
de juin qui durent 4 jours, au cours desquels plusieurs milliers d'
hommes
sont
tués. Monseigneur Denis Affre, Archevêque de Paris (Aveyronnais
né à Saint-Rome-de-Tarn, sa statue se trouve sur la place de la
Cité à Rodez),
est
mortellement
blessé
en
tentant
de
s' interposer
entre
la troupe et les émeutiers le 25 juin 1848. Dès lors, la peur des "rouges",
sentiment dominant
de
la bourgeoisie
et des propriétaires ruraux, fait le lit de la réaction. Louis-Napoléon
Bonaparte (neveu de Napoléon1er) est élu
Président de la République
en
décembre
1848.
Le 2 décembre 1851, jour anniversaire de la victoire d'Austerlitz,
Louis-Napoléon
déclare l' Assemblée dissoute, fait réprimer le soulèvement
qui se dessine à Paris
et après un plébiscite au suffrage universel met en place un
régime
autoritaire.
- le Second Empire: du 2 décembre 1852 au
4 septembre 1870:
Sous des apparences républicaines, la Constitution de 1852 établit
en fait une monarchie autoritaire. Le 20 novembre 1852 un plébiscite
vote pour le
"rétablissement de la dignité impériale en
la personne de Louis-Napoléon Bonaparte". Le 2 décembre
1852, il est proclamé empereur héréditaire des Français
et prend le nom de Napoléon
III.
La guerre de 1870 aura raison du "règne" de Napoléon
III.
Les hostilités, commencées
le 2 août 1870 durent 6 mois. L' armée impériale
subit de nombreux revers et
le désastre de Sedan, le 2 septembre 1870 - l' empereur est fait prisonnier
et
emmené en captivité en Allemagne- signe la chute de l' Empire,
la déchéance de
Napoléon III et la proclamation de la 3ème République, le
4 septembre 1870.
Les conflits extérieurs..
Cette période, ainsi qu' il en est tout au long de l' Histoire de France, connaîtra de nombreuses guerres. Nous ne nous arrêterons ici que sur les principales, à savoir la Conquête de l' Algérie, la Guerre de Crimée et la Campagne d' Italie. La guerre de 1870 sera traitée dans un chapitre ultérieur.
La conquête de l' Algérie:
Le 14 juin 1830, les troupes françaises débarquent sur la plage de Sidi-Ferruch,
à 25 kilomètres d' Alger.
La conquête de l' Algérie, si lourde de conséquences
pour la France comme pour l' Algérie, résulte non pas d'
une politique coloniale réfléchie mais
d' un imbroglio dérisoire. L' origine de l' intervention française est une querelle entre le Dey d' Alger
et le gouvernement français
à propos d' une fourniture de blé faite sous le Directoire
et non réglé
par la France. Le Dey s' emporte jusqu'à frapper de son chasse-mouches
-en 1827- le consul de France. Charles X qui recherchait un succès
extérieur
pour restaurer son image en France, saisit le prétexte et envoie la troupe.
Le 5 juillet les troupes françaises s' emparent d' Alger et le Dey
capitule. L' occupation d' Alger est accueillie en France dans la plus
grande indifférence
et n' empêche pas la Révolution des "les 3 Glorieuses"qui
chassera Charles X, d' éclater à Paris 3 semaines plus
tard.
Le gouvernement de Louis-Philippe souhaita se borner,
en sus d' Alger, à
une occupation restreinte sur quelques points de la côte: Oran en 1830,
Bône
et Bougie
en 1832, Mostaganem
en 1833.
Pour assurer la sécurité des
régions
occupées et faire respecter son autorité notamment par Abd-El-Kader "promoteur
de la guerre sainte contre
les infidèles", la France doit au fil des ans, étendre
son implantation. Après les massacres de la Mitidja perpétrés
par celui-ci en 1839, le général Bugeaud nommé gouverneur
en 1840, avec l' aide de quelques officiers d' élite dont le général
Lamoricière
et le duc d' Aumale, reprend l' offensive, s' empare de la smala (le camp)
d'Abd-El-Kader et l' oblige à
s' enfuir au Maroc où il réussit à entraîner le
sultan contre les Français.
L' armée marocaine sera battue par Bugeaud à l' Isly en 1844
et les ports de Tanger et Mogador bombardés obligeant le sultan
du Maroc à traiter.
Abd-El-Kader traqué se rend au duc d' Aumale le 23 décembre
1847. Dès 1848, l'Algérie est considérée comme
partie intégrante de la France
et structurée le 9 décembre 1848 en 3 grands départements:
Alger, Constantine et Oran.
Ainsi, à l' encontre de ses desseins primitifs, le gouvernement français
a été amené à faire la conquête de tout le
pays.
la Guerre de Crimée:
A l' origine, un conflit entre catholiques et orthodoxes, tranché en
faveur des catholiques par le sultan ottoman. Ce conflit relatif à la
protection des Lieux Saints en Palestine qui appartiennent alors à l'
Empire Ottoman, donne à la Russie l' opportunité d' intervenir
à titre de protecteur de l' Église orthodoxe pour négocier
un traité garantissant
les droits des orthodoxes dans l' Empire ottoman. Fort de l' appui français
et britannique, le sultan refuse le "protectorat" et déclare
la guerre à la Russie en octobre 1853, imité par la France
et l' Angleterre en mars 1854.
La guerre de Crimée va opposer la Russie à une coalition comprenant
la France, le Royaume-Uni, le Royaume de Sardaigne et l' Empire Ottoman pendant
2 ans (1854/1856). Elle a pour théâtre essentiel la presqu' île
de Crimée
(d' où son nom) dans
la mer Noire. On peut la résumer au siège de Sébastopol
défendu par les
Russes, véritable guerre de tranchées, qui dure près
d' un an -octobre 1854 à septembre 1855- et fait de nombreuses victimes
(la France qui engageait plus de 300000
soldats aura
95000 morts dont plus de 70000 emportés par la maladie, le froid
et le typhus).
Les principales causes de la guerre de Crimée étaient liées à la
volonté des
coalisés d' empêcher la Russie de profiter du déclin
de l' Empire Ottoman pour accroître son influence dans les Balkans
et prendre aux Turcs le contrôle des détroits entre la mer
Noire et la Méditerranée. Napoléon
III y vit aussi une occasion de remporter des victoires contre les coalisés
de 1815 en s' alliant avec les uns contre les autres.
A l' issue de la guerre de Crimée, le traité conclu à Paris
le 30 mars 1856 décide la neutralisation de la mer Noire, garantit l'
intégrité de l' Empire
ottoman et entérine la volonté de la Moldavie et de la Valachie,
provinces jusqu'alors sous "protectorat" Russe, de constituer un Etat indépendant,
la Roumanie, unifiée
en 1859.
La Campagne d' Italie:
L' Unité Italienne se fait en 1859/60 grâce à Cavour appuyé par
Napoléon III
avec l' annexion de la Lombardie après Solférino en 1859, de
l' Italie Centrale (Toscane, Modène, Parme et la Romagne Pontificale)en
1860 après la cession
à la France de Nice et de la Savoie et de l' Italie Méridionale
en 1860( Royaume des Deux-Siciles et les provinces Pontificales des Marches
et d' Ombrie).
Cette guerre dura à peine 2 mois. Les opérations commencées le 10 mai 1859 étaient terminées le 8 juillet après les 2 victoires, à Magenta le 4 juin 1859 et à Solférino, le 24 juin, des troupes Franco-Sardes sur les Autrichiens. Les préliminaires de paix furent arrêtées entre Napoléon III et l' Empereur d' Autriche François-Joseph le 11 juillet 1859 à Villafranca qui prévoyaient la cession de la Lombardie à la France qui la remettrait au Roi de Piémont-Sardaigne. Le traité de Zurich en novembre 1859 entérina ces préliminaires. |
Et dans les "archives de Meljac"..?
Pour la Conquête de l' Algérie,
nous n' avons à ce jour aucun document de famille Meljacoise, susceptible
d' illustrer les premiers pas de la France en Algérie. Bien que
nos
"recherches" ne s' avèrent
pas aussi fructueuses que nous l' espérions, c' est aux Archives
Départementales que nous retrouverons pour la période antérieure à 1870,
des noms de jeunes ayant payé de leur vie leur présence la-bas.
Les maladies mal maîtrisées sont au moins aussi meurtrières
que la guerre. On relève
sur la commune de Saint-Just dont faisait partie Meljac à l' époque:
un jeune Cayron de Meljac mort à Soukaras dans le Constantinois(sans
autre précision); Jean-Pierre Azam de Castelpers décédé de
colites chroniques au 12ème Régiment
d' Infanterie
de ligne, le 5 août 1850; Jean-Baptiste Cadars, chasseur au 16ème
Régiment
d' Infanterie de ligne mort de la typhoïde à Philippeville,
le 24 octobre 1852...Nous verrons dans un chapitre ultérieur que
jusqu'en 1962 où la
France s' est retirée de l' Algérie, de jeunes soldats français
y laisseront leur vie dont deux de nos amis d' enfance Meljacois.
On a vu plus haut, que dès 1848, l' Algérie est considérée
comme partie intégrante de la France et partagée en 3 départements:
- Alger, sous-préfectures: Aumale, Blida, Médéa, Miliana,
Orléansville,
Tizi-Ouzou;
- Constantine, sous-préfectures: Batna, Bône, Bougie, Guelma,
Philippeville, Sétif;
- Oran, sous-préfectures: Mascara, Mostaganem, Sidi-Bel-Abbès,
Tiaret, Tlemcen.
La tradition orale nous rapporte que nos grand-mères
apprenaient et récitaient les départements
en forme de comptines:
"L'
Algérie oui mes enfants |
Pour la guerre de Crimée et la
Campagne d'Italie, nous disposons de 3 documents à savoir, prêtés:
-
par Augusta Alary de Grascazes d'une part, le précieux "livret
d' homme de troupe" de Jean-Baptiste Panis, chasseur à pied
au 10ème bataillon,
appelé sous les drapeaux en 1855,
-
par la famille Azam du Puech
Issaly d'autre part, le diplôme
de la médaille commémorative de la campagne d' Italie en
1859 et le congé
de libération en 1862 de Jean-Pierre Azam, fusilier
au 52ème Régiment d' Infanterie de Ligne.
- voilà qui
nous donne une occasion de vous lancer un nouvel appel à rechercher
ce type de précieux
documents
de
famille
qui
"dorment", c'est certain, au fond de vos armoires et qui pourraient
utilement venir enrichir les contenus de votre site www.meljac.net ,
si vous vouliez
bien nous les confier -
Ces 3 documents nous éclairent sur
la vie qu 'ont pu mener ces 2 Meljacois dans les Campagnes de Crimée
et d' Italie dans les années 1855 à 1862.
Ce "livret d' homme de troupe", comme stipulé sur la couverture,
ancêtre de ce que fut notre" livret militaire" a
suivi pendant 7 ans, son "propriétaire", en l' occurrence
Jean-Baptiste Panis, immatriculé sous le n° 5146 à Grenoble
le 15 mars 1855.
Ce petit livret jauni, difficile à déchiffrer, ne se lit pas
sans émotion et
inspire le respect. Il compte en principe, comme il est dit sur sa couverture,
48 pages dont bon nombre nous manquent, qui "racontent" la
formation,
les campagnes,
l' inventaire de l' équipement et la "comptabilité pointilleuse "du
soldat qui se voit retenir sur sa maigre solde le coût
de ses effets personnels, chaussures et habillement ...jusqu'au "rétamage
de sa gamelle"...J-B.Panis rentrera chez lui avec"pour solde de
tout compte",
la somme de 3 francs 43 centimes.
Dès son incorporation le 15 mars
1855, le livret du soldat est "renseigné" ; son niveau
d' instruction"ne
sait ni lire ni écrire"...et ainsi tout au long de sa présence
au corps. Sa formation "à l' école du 1er degré le
15 avril 1855", date
à laquelle il
commencera ses "exercices de tir"; sa formation à l' escrime à laquelle il
aura "satisfait" en 1856. On n'aura pas attendu qu' il ait "satisfait"
à l' escrime en 1856 pour l' envoyer en "campagnes".
Ainsi peut-on lire sur ce chapitre que J-B.Panis s' est embarqué pour
l' Orient le 3 décembre 1855, qu' il débarquait à Constantinople
(aujourd'hui Istanbul) le 11 du même mois. Il rentrera en France le 24
juin 1856.
J-B.Panis embarquera pour l' Italie le 5 juin 1859 d'
où il rentrera 2 mois plus tard, le 10 août. On peut lire, sur cette même page,
que J-B.Panis sera "libérable" le
31 décembre 1861 soit 81 mois, pratiquement 7 ans après avoir été incorporé
(à noter qu 'à aucun endroit du livret dont nous disposons, il n' est
fait mention de "permissions" ..?).
On ne manque pas d' être impressionné par la résistance physique de ces soldats, à constater la masse d' équipement que J-B.Panis avait à transporter à dos d' homme tout au long d' incessantes marches, à en juger par les 14 paires de chaussures et les 5 paires de guêtres usées dans le cas présent et qui devait être le lot commun à tous.
81 mois, du 26 avril 1856 au 31 décembre 1862, c' est pratiquement 7 ans que fera également Jean-Pierre Azam qui, incorporé à 20 ans et demi, sera libéré à 27 ans passé; ainsi que permet de l' évaluer le "Congé de Libération" établit par le "dépôt de recrutement et de réserve du département de l' Aveyron, 10ème division militaire, place de Rodez". Lui aussi "fera la Campagne d' Italie" comme en témoigne " la Médaille commémorative de la Campagne d' Italie", instituée par décret impérial du 11 août 1859, qui lui sera décernée le 25 septembre 1859.
Résistance physique certes, mais force morale aussi, pour faire face à ces circonstances de la vie qui, au hasard d' un"tirage au sort", expédient dans "l' inconnu" et pour 7 ans de jeunes hommes de 20 ans, leur apprennent les rudiments du tir, du maniement du sabre et de la baïonnette, et les envoient à la guerre, sur des théâtres d' opérations étrangers.
"...le recrutement n' avait pas changé depuis l' époque napoléonienne. Un à un, en sabots et blouse ample, bonnet froissé à la main, l' appelé se présentait aux pieds des notables faisant arc de cercle. Présage de l' asservissement qui l' attendait, il devait s' incliner profondément pour puiser dans une corbeille posée à même le sol, le fatidique billet qui scellait pour des années son sort et celui de sa famille; billet que souvent, il ne savait pas lire et dont il ne pouvait contester le verdict. Il passait ensuite une visite médicale s' apparentant à une sélection d' esclaves avec palpation des muscles, contrôle sommaire de l' ouïe et de la vue et vérification de la dentition.." (description d' illustrations d' époque d' après la tradition orale) |
Quel courage aussi, pour se réadapter,
après 7 ans de "conditionnement", à la vie civile
et fonder une famille!...même
si beaucoup de leurs camarades, décimés autant, sinon plus,
par les ravages des maladies que par les tueries guerrières notamment
lors du siège de Sébastopol ou à Solférino,
n' ont pas eu la même "chance"
de revenir, constituant autant de souvenirs et de noms évoqués
lors des veillées d' hiver et rapportés par la tradition
orale: "...Jean-Louis
Angle de Saint-Just, tué d' un coup de feu...André Raffanel
mort à Constantinople
de diarrhées cholériformes, Jean-Louis Maffre mort de bronchite
aiguë à
l' armée d' Orient en 1855.
Et pour conclure ...provisoirement...
Ce bref survol des guerres
en Algérie, en Crimée ou en Italie ne couvre pas et il s' en
faut, l' ensemble des engagements militaires de la France sur cette période
qui va de la chute du 1er Empire en 1814 à la chute du second Empire
en 1870. En fait, sous le second Empire, à partir de 1858-60, le drapeau
français se trouve engagé
presque sur toutes les mers
et tous les continents: Chine, Indochine, Sénégal, Syrie, Nouvelle
Calédonie....politique
d' expansion inspirée autant par des considérations économico-commerciales
(profiter du progrès du transport maritime pour pénétrer
des marchés plus lointains) que religieuses (défense des intérêts
catholiques et développement des Missions).
On traitera ainsi, dans le prochain chapitre de "l' aventure mexicaine" -
1861/1867 - et de la guerre Franco-Allemande de 1870 qui mit un terme au
Second Empire.
Encore
une fois, n' hésitez pas à nous prêter vos documents et autres photographies
de Famille(nous vous les rendrons), à nous rapporter récits et anecdotes
issues de la "tradition orale"...l' apport de Chacun(e) rendra votre
site www.meljac.net plus
attrayant
encore
pour Tous (par
courriel:
meljac.net@wanadoo.fr ou par
poste: Meljac.Net - Mairie de Meljac - 12120
MELJAC)
: d' avance, merci !